Dans son discours de clôture de l’atelier organisé les 25 et 26 mai derniers, la PCA de l’Agence de Régulation des Télécommunications a présenté sa vision. Morceaux choisis.
« Nous avons passé aux cribles de notre expertise hautement diversifiée, le cadre légal des établissements publics et des entreprises publiques, en parallèle avec le fonctionnement et le management opérationnel de l’ART à ce jour. […] A titre personnel, je me félicite d’avoir fait, en deux jours, des bonds significatifs dans l’appropriation de l’écosystème technologique et managérial du secteur à travers l’ART, la perception des défis de la promotion de la gouvernance qui ont été cernés avec un accent sur les périmètres d’action et les ressorts de la promotion de la gouvernance, le kit de performances technologique, sociale, économique, financière, etc., bien appréhendé pour une construction architecturale articulée autour des résultats assignés par la loi de 1998 et les textes subséquents jusqu’au Décret de 2019 et même à l’arrêté du Minfi de mai 2020. Tenez ! Le ciment de la gouvernance d’entreprise cristallise une connexité savamment dosée entre pouvoir, responsabilité, imputabilité, redevabilité, réédition, transparence, traçabilité, équité, inclusion, efficience gage de performance !
[…] Telle que je souhaite l’appréhender, la vision avec laquelle nous sortons d’ici aujourd’hui serait formulée ainsi qu’il suit : « l’ART est, d’ici à 2025, une institution robuste par la qualité de sa gouvernance, soutenue par des procédures optimales, un kit de performances répondant aux standards internationaux, grâce aux indicateurs de performance mesurables et consensuels ». Cette boussole va guider nos actions dans les prochains jours. J’y veillerai et j’ai la conviction qu’ayant eu une vision partagée, coordonnée et harmonisée des outils de pilotage de cette vision, les actions quotidiennes de l’ART, que dis-je ! Nos actions quotidiennes seront en mode pilotage automatique sous le regard attentionné des tutelles technique et financière. Par ma voix, le Conseil d’Administration prend acte des recommandations substantielles issues de cet atelier, et s’engage à en débattre dans un cadre approprié en vue des déclinaisons opérationnelles en tant que de besoin ».