mardi, novembre 4, 2025
spot_img
Accueil Blog Page 455

Lfpc : La Fécafoot retire à la Ligue ses compétences

0
Le Comité-executif-FECAFOOT a vidé la LfPC de sa substance

Au terme de deux jours de travaux, le Comité exécutif de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) a « décidé de retirer, à compter de ce jour, l’ensemble des compétences déléguées à la Lfpc ». D’ailleurs, « il n’existe aucune convention de délégation de compétences entre ladite Ligue et la Fécafoot », clament les membres du Comité exécutif de l’instance. En clair, l’organisation des championnats professionnels est retirée à Pierre Semengue qui reste en poste, suivant la résolution 13 de l’Assemblée générale de la Fécafoot dont les travaux ont été validés au cours de la session ouverte le 2 novembre, avant d’être suspendue pour reprendre ce jour. « L’ensemble des modalités liées à l’organisation de ces championnats sera communiqué en vue du démarrage affectif desdits championnats dans les tout prochains jours», annonce la Fécafoot. En respect de la résolution 13 donc, et malgré la « dissolution » de la Ligue de football professionnel du Cameroun (LFPC), la Fécafoot maintient le général en poste à titre « exceptionnel », après avoir constaté la forclusion de son mandat.

Pierre Semengue n’a pas pris part à ces travaux, encore moins à la séance de travail organisée hier à la Fécafoot pour clarifier la situation de la Ligue qui vient de vivre deux assemblées générales par deux factions opposées : l’une par le président de l’instance et qui a validé la saison sportive dernière, et engagé la nouvelle ; et l’autre organisée par les dissidents qui ont dissout la ligue. Pierre Semengue qui déclare avoir été convoqué aux travaux de la commission du tracé de la frontière entre le Cameroun et le Nigeria, a émis des « doutes sur la neutralité de la Fécafoot» dans cette affaire. Semengue « suggère » au président de la Fécafoot de se référer au Comité national olympique et sportif du Cameroun (CNOSC) pour toute autre médiation sur cette affaire.

A son niveau, le général à la retraite annonce avoir saisi la justice pour connaître de la crise qui secoue la Ligue. Convaincu qu’il est, que cette crise dépasse la sphère sportive. On sait que l’homme avait déjà confié avoir pu obtenir des informations faisant état d’un projet de déstabilisation du Cameroun à travers le sport et notamment le football.

Crise à la LFPC : Pierre Semengue snobe Mbombo Njoya et saisit la justice

0
Semengue s'en remet à la justice

Pierre Semengue n’a pas pris part à la réunion de concertation que le président de la Fédération camerounaise de football (Fécafoot) a convoquée hier 3 novembre 2020 pour faire la lumière sur la crise interne à la Ligue de football professionnel du Cameroun (LFPC). Assise qui a valu la suspension de la réunion du Comité exécutif de la Fécafoot ouverte lundi dernier. Dans un courrier qui a fuité sur les réseaux sociaux, le président de la LFPC justifie son absence par sa présence requise aux travaux du « séminaire atelier de des composantes camerounaises au CPP, à l’ETS et à l’ETM sur l’examen des feuillets des cartes de la frontière Cameroun-Nigeria ». Une raison d’Etat, relative au tracé de la frontière entre les deux pays voisins.

Mais au-delà de cette préoccupation, le général Pierre Semengue n’avait pas l’intention de se rendre à la Fécafoot pour cette autre crise dans laquelle il a « des doutes …sur la neutralité de la Fécafoot». En raison de ce que l’assemblée générale qui a abouti à la « dissolution » de la Ligue a eu lieu au Centre d’excellence de la CAF. Centre dirigé par la Fécafoot. Ce « malgré la décision d’interdiction signée du sous-préfet de Mbankomo», mentionne le général Pierre Semengue. Accusant entre les lignes la Fécafoot d’avoir joué sa partition pour la tenue de cette assemblée générale « anti-statutaire ». A cet effet, Pierre Semengue « suggère » Séidou Mbombo à « saisir le Comité national olympique et sportif du Cameroun (CNOSC) pour une médiation en toute neutralité ».  

Mais déjà, le général à la retraite informe sa tutelle qu’il a saisi la justice « pour que toute la lumière soit faite sur cette affaire qui, apparemment, va au-delà du cadre du football». Sans détails. Toujours est-il que l’homme avait déjà indiqué récemment que sa qualité de militaire lui a permis d’obtenir certaines informations qui font état d’un projet de déstabilisation du Cameroun par le football.

Pour comprendre le sujet:

Semengue engage la saison sans la Fécafoot

LFPC: une entité, deux assemblées générales

Dénouement: le TAS désavoue la Fécafoot et réhabilite la Ligue

Subvention de l’Etat: la dernière balle du général

Insécurité : des élèves du Lycée de Fundong enlevés

0

Selon des informations livrées par la journaliste Mimi Mefo, au moins sept élèves du Lycée bilingue de Fundong ont été enlevés ce jour par des hommes armés. La journaliste en exil indique que les élèves se rendaient à l’école lorsqu’ils ont été kidnappés par des hommes non encore identifiés. Jusqu’à l’heure actuelle, rien ne filtre encore de la destination prise par les preneurs d’otage, ni leurs revendications. Le gouvernement non plus n’a pas encore communiqué sur cet autre acte criminel survevnu dans le chef-lieu du département du Boyo, région du Nord-ouest.

C’est le second incident du jour dans les deux régions en crise. A Limbé, un groupe d’assaillants s’est aussi invité au Kulu memorial college et a torturé les enseignants avant de mettre le feu sur les bâtiments. Alors que l’on n’a pas encore oublié la tuerie de la Mother Francisca de Kumba le 24 octobre dernier.

Limbé : Une école incendiée

0
Du feu sur les bâtiments de Kulu memorial college de Kumba

Des images circulent sur les réseaux sociaux depuis ce matin, faisant état d’un incendie survenu dans un établissement scolaire de la ville de Limbé. Il s’agit de Kulu memorial college sis à Mile 4 dans cette ville de la région du Sud-ouest. Selon la journaliste Mimi Mefo, « les élèves et les enseignants ont été déshabillés et torturés» par les assaillants armés. Lesquels ont par la suite mis le feu sur les bâtiments et les bureaux, avant de prendre la fuite.

Les assaillants ont déshabillé les élèves et enseignants qu’ils ont torturés

Cela survient 24h après l’enlèvement de 11 enseignants de la Presbyterian school de Kumbo dans la région du Nord-ouest. Avant cela, ce sont des élèves de la Mother Francisca de Kumba qui ont fait les frais le 24 octobre dernier, de la crise qui secoue les régions du Nord-ouest et du sud-ouest. Sept en sont morts et 14 autres blessés encore internés dans des hôpitaux du Sud-ouest et du littoral.

Crise dans le NOSO : 11 enseignants enlevés à Kumbo

0
Eglise presbyterienne de Kumbo. La peur s'installe

Tout le corps enseignants, soit 11 personnes, ont été enlevées ce 3 novembre 2020 à la Presbyterian school de Kumbo dans la région du Nord-ouest. Selon des informations concordantes, un groupe d’hommes armés a débarqué au sein de l’établissement et a proféré des menaces à l’encontre du corps enseignant qu’il a décidé d’emmener vers une destination inconnue. Après avoir ordonné aux élèves de retourner à la maison et de ne plus revenir à l’école. Pour le moment, le gouvernement est resté muet sur cette actualité.

Dans un communiqué de presse rendu public ce matin, l’église presbytérienne condamne véhément cet acte qui prive les enfants de leurs droits à l’éducation ». Et annonce être entrée en prières pour l’ensemble de la communauté éducative durant cette dure épreuve. « Notre espoir est que ce genre de scénario macabre prenne fin un jour par la grâce de Dieu». On apprend des médias internationaux que l’église et les autorités administratives locales ont entamé des négociations en vue de la libération des otages.

Le communiqué de l’église presbyterienne

Cela survient une semaine après l’attaque d’une école primaire confessionnelle de Kumba dans la région du Sud-ouest. Alors que l’émoi suscité par la fusillade qui a fait sept morts et 14 blessés dont certains cas graves, a semblé sonner le glas de la montée des sécessionnistes.

CVUC : Augustin Tamba succède à Emile Andze Andze

0
La paix des braves entre Augustin Tamba et Aboubakar Abbo

Pour les cinq prochaines années, Augustin Tamba présidera aux destinées des Communes et villes du Cameroun (CVUC). Ainsi en ont décidé les urnes aux premières heures de cette journée. Retranchés au Mont Fébé Hôtel de Yaoundé les 364 maires du Cameroun ont élu le maire de Yaoundé 7ème par 198 voix contre 165 pour Aboubakar Abbo Wakili, le maire de Belel (et un bulletin nul). Après une longue journée électorale. La balance a penché pour Augustin Tamba finalement. Grâce certainement à la campagne de dernière minute qui a vu Anthony Dighambong, le maire de Wum, se retirer au profit de celui qui sortira vainqueur. Lui qui avait déjà réussi à faire plier à sa cause Anicet Akoa, le maire de Ngoulemakong.

Les résultats de l’élection

Celui dont la course avait pris de l’élan dès le 13 octobre 2020, avec sa victoire sur Dieudonné Zang Mba (maire de Mbalmayo), a désormais le boulevard ouvert pour implémenter le projet qu’il a vendu aux maires pour se faire élire. L’homme qui est à la tête de la mairie de Yaoundé 7 depuis 2013, entend faire des CVUC « un corps intermédiaire majeur », à savoir capable d’impulser la marche des mairies par ces temps de décentralisation. Alors Augustin Tamba a promis de faire un plaidoyer auprès du gouvernement afin que les communes reçoivent
15% du budget de l’État, ainsi que la création d’un cadre de gestion des ressources humaines communales et une révision du Code des marchés. De même, l’homme a promis, s’il est élu, l’organisation en 2021 du Forum international sur le financement des projets des collectivités territoriales décentralisées.

Lions indomptables : Toni Conceiçao sort de son mutisme

0
Conceiçao s'est enfin expliqué sur ses choix

Plusieurs jours après avoir rendu publique une liste de 32 joueurs devant prendre part au regroupement en vue des rencontres en aller et retour contre le Mozambique, Antonio Conceiçao vient de réduire sa liste à 24 joueurs. C’est ce groupe qui prendra part au stage. Huit joueurs sautent, en avant d’être rentrés en stage. Conceiçao justifie ses choix par l’actualité sanitaire, les désistements et autres indisponibilités. Mais les huit joueurs recalés restent dans la liste d’attente.

Les 24 qui affronteront le Mozambique

L’entraîneur principal des Lions indomptables est ainsi sorti de son mutisme pour s’expliquer sur ses choix. Notamment l’absence de Nicolas Nkoulou qu’il avait convoqué dans sa première liste et qui ne s’est jamais présenté. Lui qui était allé en club rencontrer l’ex capitaine des Lions indomptables, lequel a donné son accord de principe pour un retour en sélection, et est même venu rencontrer le ministre des Sports et de l’éducation physique (Minsep). Autant pour Allan Nyom que le technicien avait rencontré, en compagnie de certains de ses collaborateurs. « Les portes de la sélection restent ouvertes. Je ne vais pas forcer un joueur à revenir», s’est-il contenté.

Sur le même sujet:

Cameroun-Mozambique: Conceiçao convoque 32 Lions

Lions indomptables: Nkoulou sur le retour

Parlement : Le budget 2021 déjà en retard

0

Le président Paul Biya promettait en juillet dernier que « l’élaboration du budget de l’Etat pour l’exercice 2021 se fera dans le respect des principes définis par le nouveau régime financier de l’Etat et des autres entités publiques et conformément aux dispositions du décret portant calendrier budgétaire de l’Etat ». Dans le respect des autres principes du régime financier de l’Etat peut-être, mais pas celui de la ponctualité.
Le comité technique interministériel en était encore ce lundi, 27 octobre à sa première session. Réunis autour du ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire, Alamine Ousmane Mey, les experts devaient seulement commencer à examiner les dossiers de maturité des projets d’investissements soumis par les maîtres d’ouvrage. Il s’agit certes de l’un des derniers maillons de la chaîne de vérification des projets considérés comme matures par les différentes administrations. Une dernière vérification qui n’efface pas le retard.

Au secrétariat de l’Assemblée Nationale, les officiels confirment que la balle est toujours dans le camp du gouvernement. A quelques jours de l’ouverture putative de la session de novembre, dite budgétaire, aucun texte pertinent n’a encore été déposé sur la table du secrétariat général de la chambre. Sont donc attendus, le projet de loi de règlement et le projet de loi des finances.

Si on s’en tient aux dispositions du régime financier de l’Etat, les projections budgétaires du gouvernement devraient être reçues par les députés et par les sénateurs au plus tard 15 jours avant l’ouverture des travaux de la session de novembre.

A ce rythme, il faudrait que la session de novembre s’ouvre au plus tôt le 16 novembre prochain. Trop tard. Tout semble conduire à la conclusion que ces retards sont intégrés et planifiés. Sinon, comment comprendre que même la loi de règlement censée constater l’exécution de la loi de finances 2020 n’ait pas encore été aperçue au service du courrier des chambres parlementaires ?

Une réponse est peut-être contenue dans la circulaire de Paul Biya relative à la préparation du budget de l’année prochaine. Le chef de l’Etat a averti que la préparation du budget, cette année, se déroule « dans un environnement international marqué par de fortes incertitudes tant sur la demande que sur l’offre globale, en relation avec la pandémie du coronavirus ».

Circulaire présidentielle

Une explication satisfaisante ? Pas vraiment au regard de l’histoire récente des manœuvres dilatoires du gouvernement quand vient le moment de subir le contrôle parlementaire inscrit dans la lettre et l’esprit du code de transparence et de la bonne exécution du budget de l’Etat.

Il est aussi intéressant de noter que la disposition sur les délais était déjà présente dans la précédente version de la loi portant régime financier de l’Etat adopté en 2007 et elle n’a jamais été respectée. Au grand dam des parlementaires.

En attendant l’arrivée du texte dans leurs casiers, les parlementaires ont toutefois matière à réflexion. Dans sa circulaire, Paul Biya a fixé ce qui, de son point de vue, devrait être la priorité au cours de l’exercice 2021. Le projet de loi de finances à venir devrait faciliter la réintégration dans le secteur agricole notamment des personnes démobilisées dans le cadre du Comité National de Désarmement, de Démobilisation et de Réintégration. Un point sur lequel les attentions et les débats en commission vont sans doute se cristalliser au regard de l’actualité de la crise dans les régions du Nord-ouest et du Sud-Ouest. Au registre des marronniers en matière budgétaire : l’achèvement des infrastructures du Chan et de la CAN prévus au Cameroun l’année prochaine. Le ministre des Finances, Louis Paul Motaze parlera encore de la « réduction du train de vie de l’Etat » prescrit par le chef de l’Etat.

Par William Bayiha

Football professionnel : Pierre Semengue engage la saison sans la Fécafoot

0

La Ligue de football professionnel du Cameroun (Lfpc) finalement lancé sa saison 2020-2021 ce dimanche au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé. Au menu, le duel Panthère-Cotonsport. Match qui s’est soldé par une victoire du club du Nord (0-2). Les deux équipes se sont dites satisfaites de cette rencontre qui marque le retour du football dans les stades depuis six mois d’arrêt d’activités, d’abord en raison de la pandémie du Covid-19, mais désormais en raison de la guerre qui oppose la Ligue à la Fédération camerounaise de football (Fécafoot). Et qui a plombé le démarrage de la saison initialement programmée pour le mois de septembre. « On avait non pas une injonction, mais une recommandation de notre gouvernement de relancer les championnats. Il fallait respecter [ce décret, Sic]] du président de la République », justifie Faustin Domkeu, président d’Astres de Douala, allié de Pierre Semengue dans ce combat.

C’est donc une victoire du général Pierre Semengue sur la Fécafoot, tant tout restait incertain jusqu’au coup d’envoi de la rencontre. La commission centrale des arbitres n’ayant pas désigné d’officiels pour la rencontre. Ajouté à cela, la dissolution de la LFPC décidée par 18 clubs des championnats professionnels. Reprenant le combat là où la Fécafoot a échoué e, juillet 2019. Ainsi, rien ne garantissait la tenue de cette rencontre dans cette ambiance. Mais le général à la retraite avait prévu des solutions à chaque obstacle envisageable. Il en est ainsi des arbitres venus de la Guinée équatoriale. « Nous avions prévu un plan B, et même un plan C avec un trio arbitral congolais car il y a eu beaucoup de pressions sur les Equato-guinéens pour qu’ils ne dirigent pas ce match », confie Faustin Domkeu.

Pour la suite, les mêmes incertitudes demeurent. D’autant plus que les arbitres ne viendront certainement pas de pays étrangers toutes les journées des championnats. « Je tends la main à la Fécafoot et à tous les clubs…», a lancé le président de la Ligue, en posture d’invité du de 20h30 de la télévision nationale. Un message qui ne devrait pas être entendu par la Fécafoot et les membres de la Ligue qui l’accompagnent dans le combat contre la LFPC. Toujours est-il que dans son camp,le général compte parmi ses alliés des hommes de poids de la trame de Roger Milla, Gérémie Njitap, Abdouraman Hamadou,…

Drame de Kumba : Garoua porte le deuil

0
Garoua et son maire pleurent les enfants de Kumba

« La ville de Garoua, comme toutes les villes du Cameroun, est attristée et vivement outragée par…la tragédie » qui a frappé la ville de Kumba le 24 octobre dernier. Et le maire de la ville de Garoua a tenu à le signifier de façon particulière. Par écrit. « En m’associant à la ville de Kumba pour porter le deuil de nos enfants innocents qui ne demandaient qu’à être enseignés, je viens par la présente, vous adresser, monsieur le maire, au parent s des victimes durement éprouvés, et aux populations de votre ville mes vives condoléances, ainsi que celles des populations de la ville Garoua meurtris et sans voix devant une telle tragédie », écrit le Dr Ousmaïla Mohamadou. Et émet le vœu de voir Kumba se remettre aussitôt de ce drame et même de la crise sécuritaire même qui secoue les régions du Nord-ouest et du Sud-ouest. Afin de « retrouver son rayonnement d’antan ».

Le premier magistrat de la capitale régionale du Nord ne s’est pas contenté de souhaits de condoléances à travers des écrits qui certes restent une trace remarquable pour la ville qui concentre le deuil national observé ce 31 octobre 2020. Le frère de Garoua a puisé dans la tradition africaine qui exalte les vertus de la solidarité en cas de malheur. Ainsi, Ousmaïla Mohamadou envisage d’effectuer une visite de condoléances à Kumba afin de mieux « essuyer les larmes » des populations sœurs de cette ville qui a perdu depuis une semaine sa chaleur d’antan. En attendant la réaction divine qu’il implore pour ses frères victimes de la crise sécessionniste en cours depuis quatre ans.

- Publicité -
Google search engine