BgfiBank conserve son titre de Meilleure Banque de la Cemac

Avec un total de bilan de 3137 milliards francs CFA en 2018, le holding financier a ainsi été consacré pour la troisième année consécutive aux trophées African Banker.

Le 11 juin dernier, le groupe BgfiBank a conservé son titre de meilleure banque régionale d’Afrique centrale aux Trophées African Banker. « Pour la troisième année consécutive BgfiBank conserve son titre de meilleure Banque régionale d’Afrique Centrale puisque la banque est en effet, par son total de bilan, la plus importante dans la sous-région », se réjouit le groupe dans un communiqué. En effet, au cours de l’exercice 2018, le holding financier a « su maintenir ses acquis », avec une croissance maitrisée et rentable et un total bilan de 3 137 milliards francs CFA, soit une progression de 5 % par rapport à l’exercice 2017. Et ce « en dépit d’un contexte économique contrasté et un environnement juridique et réglementaire de plus en plus exigeant », souligne l’institution bancaire.

Dans la même lancée, le groupe dont le siège se trouve à Libreville au Gabon a également poursuivi ses efforts de renforcement des fonds propres avec une situation nette de 375 milliards de francs CFA. Ce qui représente une hausse de 7 % par rapport à l’année dernière. Le groupe, présent dans 10 pays en Afrique à travers des filiales bancaires, affirme s’être « fortement engagé à contribué au dynamisme économique dans ses pays d’implantation en participant au renforcement constant de l’inclusion bancaire sur le continent ». La preuve, les dépôts de la clientèle ont augmenté de 5 % pour s’établir à 2 170 milliards et un accroissement des crédits à la clientèle de 4 % pour se situer à 2 123 milliards de francs CFA par rapport à l’exercice précédent. « A travers ce niveau d’activités, le groupe BgfiBank a confirmé son statut d’acteur majeur au service du financement des économies africaines », indique le groupe. D’après le Président-directeur général du groupe, Henri-Claude Oyima, cette position devrait être confortée dans les années à venir d’autant plus que le holding bancaire « compte accélérer le développement du groupe, via une stratégie de croissance organique ». Laquelle stratégie de développement repose sur la maîtrise des coûts, le développement des parts de marché avec de nouveaux produits et services, mais également de croissance externe. Dans cette perspective de croissance, Henri-Claude Oyima avait fait savoir que la banque est prête à racheter d’autres banques.

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