L’objectif est d’autonomiser les femmes pour des économies résilientes et des communautés pacifiques dans les régions de l’Est et de l’Adamaoua.
Ce projet de l’Organisation internationale du travail (OIT), financé par l’Agence coréenne de coopération internationale (Koica) a vu le jour il y a deux ans, avec pour objectif de contribuer à la redynamisation des économies et à la cohésion sociale entre les réfugiés et les communautés d’accueil.
Lors de la deuxième session du comité de pilotage dudit projet tenue le 29 novembre dernier dans la région de l’Est, Nathalie Nguemba, inspecteur général du ministère de la Promotion de la femme et de la famille (Minproff) a rassuré que « le projet évolue bien. Nous avons mis en lumière ce qui a été fait depuis 2021. Nous nous sommes ensuite organisés pour le lancement des activités à mener en 2023. Nous avons échangé sur ce qui a été prévu et établi un budget pour que les objectifs fixés soient atteints de la meilleure des manières ».
Selon l’information contenue dans l’hebdomadaire Cameroon Business Today (CBT) paru le mercredi 14 décembre dernier, il est question pour l’Agence coréenne de coopération internationale Koica de renforcer les institutions locales et de promouvoir des mécanismes favorables au développement économique inclusif, la cohésion sociale et le bien-être des communautés concernées. Ledit projet vient également aider les femmes réfugiées, déplacées internes et populations d’accueil à créer des entreprises et plusieurs coopératives agricoles durables et écologiques.