L’entreprise a offert ses services digitaux de paiement pour accompagner l’organisation de Kossa times, un évènement de promotion du makossa au Cameroun.
Orange Cameroun a décidé de s’associer à l’organisation de la quatrième édition de kossa times, un concept de promotion du Makossa et de ses acteurs. Pour cet évènement qui se tient ce 25 mai 2023 à Douala, l’opérateur de télécommunications offre un coup de pouce dans la sécurisation des ressources financières. Il s’agit notamment des frais liés à l’achat des tickets de ce grand show qui mettra en scène plusieurs vedettes du Makossa tels que Ben Decca, Samy Diko, Claudia Dikosso.
L’achat des tickets se fait exclusivement par Orange Money. Ce qui permet aux organisateurs et aux acteurs concernés par le Kossa times de préserver les recettes et de pouvoir en faire une utilisation saine. A travers ce partenariat avec Orange Money Afrique, Orange affirme sa volonté d’accompagner l’industrie culturelle et notamment la musique. Robert Ekotto, chef département sponsoring chez Orange Cameroun détaille pas la stratégie : « dans le cadre de la musique, nous accompagnons le festival du Makossa et le festival du bikutsi. Cet accompagnement entre dans la logique du soutien des aires culturelles dont l’aire culturelle Fang beti avec le festival bikutsi, l’aire culturel Sawa à travers le festival du Makossa. Cette année nous avons élargi notre spectre d’actions et nous avons accompagné le festival du Sahel qui aura lieu en juin porté par la reine du Sahel. Nous sommes en train de travailler avec un partenaire pour le lancement du festival Grass Field qui aura lieu cette année donc ça va nous permettre de couvrir les quatre aires culturelles du Cameroun ».
C’est depuis plusieurs années que l’entreprise se tient aux côtés des artistes à travers diverses actions. En dehors des appuis financiers notamment des récompenses aux stars de la musique, Orange accorde plusieurs soutiens en fonction des problématiques exprimées. « Nous sommes une société qui fait dans la digitalisation et aujourd’hui la musique se vend à travers le digital. Il y a de moins en moins de spectacles ; donc il faut trouver des moyens de soutenir les artistes. Grâce à notre partenariat, le festival Makossa aujourd’hui a une chaîne qui permet de monétiser leurs activités, pareil pour le festival du Bikutsi. Nous avons par exemple fait des formations sur comment un article doit gérer sa carrière en intégrant les réseaux sociaux par ce qu’aujourd’hui on ne peut plus faire sans. On a également pu mettre à la disposition des artistes du Makossa des experts pour leur permettre d’avoir des photos officielles etc », précise Robert Ekotto.